Relance client impayé : guide complet pour récupérer vos créances efficacement

Jeune dirigeant appelant un client et vérifiant une facture impayée.
Table des matières

La relance de clients en cas d’impayés constitue un enjeu majeur pour toute entreprise, quelle que soit sa taille. Face à une facture non réglée, mettre en place un processus structuré de recouvrement client devient essentiel pour préserver sa trésorerie.

Chez Acceor, nous conseillons les entreprises sur le processus de relance de clients en cas d’impayés en proposant différentes méthodes adaptées à chaque situation : relance par email, relance téléphonique ou courrier recommandé.

L’essentiel de l’article

  • Pourquoi agir vite ? Les impayés asphyxient la trésorerie, génèrent des coûts cachés (temps passé, stress) et fragilisent la relation fournisseurs-salariés.
  • Relance préventive (J-3/J-5) : rappel courtois avant échéance pour vérifier l’oubli ou détecter d’éventuelles difficultés.
  • Relance amiable (J+1 → J+20) : scénario progressif e-mail → téléphone → LRAR ; traçabilité systématique de chaque échange.
  • Relance contentieuse : injonction de payer, référé provision ou action au fond après analyse coût/bénéfice (huissier, avocat, société de recouvrement).
  • Outils clés : facturation automatisée, CRM pour historiser, tableaux de bord impayés, modèles de courriers, signature électronique.
  • Modèles de communication : 1) e-mail courtois, 2) mise en demeure LRAR (pénalités + indemnité 40 €), 3) courrier pré-contentieux avec ultimatum (48 h – 8 j).
  • Bonnes pratiques : personnaliser la relance, multicanal, proposer échelonnement ou médiation, réagir dès J+1, ton professionnel constant.
  • Prévention : politique de crédit stricte, vérification solvabilité, acomptes, paiements échelonnés, factures digitalisées.
  • Cadre légal : délai maximum 45 j fin de mois ou 60 j date facture, pénalités de retard + indemnité forfaitaire obligatoires.
  • Cas litigieux : face à un client injurieux ou menteur, rester factuel, documenter chaque propos, éviter l’escalade émotionnelle.

Pourquoi la relance de clients en cas d’impayés nuit à votre trésorerie ?

L’impact des factures impayées sur la santé financière d’une entreprise est souvent sous-estimé. La trésorerie, véritable poumon de l’entreprise, se retrouve asphyxiée par ces impayés. Les effets en cascade sont nombreux : impossibilité de régler ses propres fournisseurs, tensions dans les relations commerciales et, parfois même, incapacité à verser les salaires.

Au-delà de l’aspect purement financier de la gestion des impayés, la relance client génère des coûts cachés considérables. Le temps consacré par vos équipes à la gestion des impayés représente un coût d’opportunité majeur : ce temps pourrait être investi dans des activités génératrices de valeur. Le stress engendré par ces situations affecte également la productivité globale et le climat au sein de l’entreprise.La gestion du risque client devient alors une compétence stratégique pour toute entreprise soucieuse de sa pérennité.

Les étapes essentielles d’une procédure de relance de clients en cas d’impayés efficace

La relance préventive : anticiper les impayés clients

La relance préventive constitue la première ligne de défense contre les impayés. Cette démarche vise à rappeler au client l’arrivée de l’échéance de paiement avant même que celle-ci ne soit dépassée. L’objectif de cette relance de clients et d’impayés est double : s’assurer que le client n’a pas simplement oublié la facture et détecter d’éventuelles difficultés de paiement avant qu’elles ne se transforment en conflit.

Le moment idéal pour effectuer cette relance préventive se situe généralement entre trois et cinq jours avant la date d’échéance. Cette période laisse suffisamment de temps au client pour organiser son paiement tout en démontrant votre rigueur dans le suivi des factures.

Le ton adopté lors de cette première relance de clients et d’impayés doit inclure les informations essentielles : numéro de la facture, montant de la facture, modalités de paiement et coordonnées bancaires. Une formulation du type « Nous nous permettons de vous rappeler que la facture n°XXX arrive à échéance le JJ/MM/AAAA » est généralement bien perçue.

La relance amiable : premières étapes face à un client impayé

La phase de relance amiable s’inscrit dans un cadre non contentieux, visant à obtenir le règlement de la facture tout en préservant la relation commerciale. Cette approche progressive pour votre relance de clients et d’impayés permet souvent de résoudre la majorité des situations d’impayés sans recourir à des mesures coercitives.

La documentation rigoureuse lors de votre relance de clients et d’impayés est clé. Chaque contact avec le client (email, appel, courrier) doit être consigné avec sa date, son contenu et la réponse éventuelle obtenue. Ces éléments constitueront des preuves précieuses en cas de passage devant les tribunaux. Les techniques d’appel efficaces peuvent considérablement améliorer l’efficacité de vos relances téléphoniques.

Voici un tableau récapitulatif des bonnes pratiques :

Phase de relanceDélai après échéanceCanal de communicationTon à adopterÉléments à inclure
Rappel initial1-3 joursEmailCourtoisRappel facture, coordonnées bancaires
Seconde relance7-10 joursEmail + téléphoneFermeMention pénalités, nouvelle échéance
Dernière relance amiable15-20 joursrelance téléphonique + relance par emailFormelAvertissement procédure, total dû avec pénalités

La relance contentieuse : quand passer à l’action juridique ?

Responsable financier inquiet consultant son smartphone face aux impayés.

Lorsque les tentatives de relance de clients et d’impayés amiable restent sans effet, il devient nécessaire d’envisager la phase contentieuse. Plusieurs signes doivent vous alerter : absence totale de réponse après plusieurs relances, promesses de paiement non tenues, contestation infondée de la dette, etc.

Le passage au contentieux ouvre la voie à différentes procédures judiciaires. L’injonction de payer constitue souvent la première option : cette procédure simplifiée permet d’obtenir rapidement un titre exécutoire sans audience contradictoire. Le référé provision représente une alternative efficace pour les créances non sérieusement contestables, avec une procédure plus rapide qu’une action au fond.

Si la relance de clients et d’impayés est inefficace, le recours à un huissier de justice ou à une société de recouvrement engendre des coûts qu’il convient d’anticiper. Un huissier facture ses actes selon un tarif réglementé, tandis que les sociétés de recouvrement appliquent généralement une commission sur les sommes récupérées (entre 10% et 25%). L’avocat, quant à lui, sera indispensable pour les procédures complexes, avec des honoraires variables selon sa notoriété et la difficulté du dossier.

Les délais des procédures contentieuses dans le cadre de relance de clients et d’impayés varient considérablement : comptez 2 à 3 mois pour une injonction de payer non contestée, 3 à 6 mois pour un référé provision, et potentiellement plusieurs années pour une procédure au fond en cas d’appel.

L’analyse coût/bénéfice s’impose avant d’engager une procédure. Pour une créance de moins de 5000€, les frais d’avocat et de procédure peuvent rapidement représenter une part importante du montant à récupérer. De plus, même si vous obtenez gain de cause, les frais de recouvrement client ne sont pas systématiquement mis à la charge du débiteur. Sans compter le temps considérable que ces démarches nécessitent. La décision de poursuivre doit donc être mûrement réfléchie, en tenant compte du montant de la créance, des chances de recouvrement et de l’importance stratégique du client.

Les outils indispensables pour optimiser vos relances clients impayés

  • Logiciels de gestion de facturation avec automatisation des relances
  • Un outil de gestion de leads, intégrant le suivi des paiements et l’historique client
  • Tableaux de bord de suivi des impayés avec indicateurs clés
  • Modèles personnalisables de lettres et d’emails de relance
  • Outils d’évaluation de la solvabilité des clients
  • Solutions de signature électronique pour sécuriser les engagements
  • Applications de gestion des appels téléphoniques et de leur suivi

Il est également bon de rappeler que dans le cadre de relance de clients et d’impayés, vous devez conserver toutes les traces d’échanges écrits, comme les devis acceptés et les factures, qui matérialisent l’accord du client pour le travail réalisé. Ces documents constituent des preuves incontestables en cas de litige. Les outils digitaux de gestion de la relation client facilitent grandement cette conservation et permettent de retrouver rapidement ces éléments en cas de besoin.

Modèles de lettres et emails pour relancer un client impayé

Une bonne communication de relance de clients et d’impayés doit systématiquement inclure des éléments essentiels : références de la facture, montant dû, date d’échéance, modalités de paiement et délai de régularisation attendu.

Premier niveau : email de rappel courtois pour un client impayé

La structure de ce premier email de rappel doit être soignée pour maximiser son efficacité. Commencez par un objet clair comme : « Rappel : Facture n°XXX en attente de règlement ». Dans le corps du message, après une formule de politesse, rappelez brièvement le contexte de la facture (prestation réalisée, date). Mentionnez ensuite les informations essentielles : numéro de la facture, montant de la facture, date d’échéance dépassée et coordonnées bancaires pour faciliter le paiement immédiat.

Voici un exemple de formulation efficace : « Nous constatons que la facture n°12345 d’un montant de 1 500€ émise le 15/01/2023 et arrivée à échéance le 15/02/2023 n’a pas encore été réglée. Nous vous remercions de bien vouloir procéder à son règlement dans les meilleurs délais. »

Terminez votre message par une invitation à vous contacter en cas de difficulté ou de question, ce qui ouvre la porte au dialogue. N’oubliez pas de joindre la facture en pièce jointe pour faciliter le traitement.

Parmi les erreurs à éviter dans cette première communication écrite avec les clients : un ton accusatoire, des menaces prématurées, l’omission d’informations essentielles ou un message trop long qui diluerait l’information principale. Gardez à l’esprit que l’objectif est d’obtenir le paiement tout en préservant la relation commerciale.

Deuxième niveau : lettre de mise en demeure pour impayé client

La lettre de mise en demeure constitue une étape formelle et juridiquement significative dans le processus de relance de clients et d’impayés. Elle marque la fin de la phase purement amiable et prépare le terrain pour d’éventuelles actions judiciaires. Son cadre légal est précis et sa rédaction doit respecter certaines règles pour garantir sa validité.

Cette lettre doit impérativement mentionner les éléments obligatoires prévus par la loi : les pénalités de retard applicables (généralement au taux légal, sauf mention contraire dans vos CGV), l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement (40€ par facture pour les professionnels), ainsi que la mention explicite « mise en demeure ». Ces mentions transforment votre courrier en un acte juridique déclenchant des effets légaux comme le calcul des intérêts moratoires.

Le format recommandé est le courrier recommandé avec accusé de réception (LRAR). Cette modalité d’envoi offre une preuve légale de réception, indispensable en cas de procédure ultérieure. Conservez précieusement l’avis de réception signé par le destinataire ainsi que la copie de votre courrier.

Après l’envoi de cette mise en demeure, il est recommandé d’observer un délai de paiement de 15 jours avant d’engager d’autres actions. Ce délai, bien que non imposé par la loi, est considéré comme raisonnable par les tribunaux et démontre votre volonté de résoudre le litige à l’amiable.

Niveau final : communication précontentieuse pour impayé

Entrepreneur mécontent envisageant une action juridique au téléphone.

La communication précontentieuse représente votre dernière tentative de résolution amiable avant d’entamer des procédures judiciaires. Ce courrier doit clairement signifier au débiteur qu’il se trouve à la croisée des chemins : soit il règle sa dette, soit il s’expose à des poursuites imminentes.

L’usage de termes juridiques spécifiques comme « assignation en paiement« , « titre exécutoire » ou « saisie » permet au débiteur de mesurer la gravité de la situation. Par exemple : « Faute de règlement intégral de la somme due dans le délai imparti, nous nous verrons contraints de transmettre votre dossier à notre conseil juridique en vue d’une procédure de recouvrement forcé. »

Les conséquences du non-paiement doivent être détaillées avec précision : montant actualisé incluant les pénalités et frais de recouvrement, procédure judiciaire envisagée (injonction de payer, référé provision, etc.), risque d’inscription au fichier des incidents de paiement pour les entreprises, et potentielles saisies sur comptes bancaires ou autres actifs.

L’ultimatum fixé doit être court mais réaliste dans votre relance de clients et d’impayés : généralement entre 48 heures et 8 jours. Ce délai restreint crée un sentiment d’urgence tout en restant raisonnable. Précisez clairement la date limite en caractères gras ou soulignés pour éviter toute ambiguïté.

Voici un exemple de formulation appropriée pour conclure ce type de courrier de relance de clients et d’impayés : « En l’absence de paiement intégral de la somme de X euros (incluant les pénalités légales et frais de recouvrement) avant le JJ/MM/AAAA, nous transmettrons sans autre préavis votre dossier à notre huissier de justice qui procédera à l’engagement des poursuites judiciaires appropriées, avec toutes les conséquences financières et juridiques que cela implique pour votre entreprise. »

Conseils d’experts pour améliorer le taux de recouvrement des impayés

Commercial à l’écoute d’un client pour trouver une solution amiable.
  • Personnalisez votre approche selon le profil et l’historique du client
  • Combinez différents canaux de communication (écrit, téléphone)
  • Documentez systématiquement toutes vos démarches de relance de clients et d’impayés, ainsi que vos factures et devis avec les dates associées
  • Proposez des solutions alternatives (échelonnement, médiation)
  • Réagissez rapidement dès le premier jour de retard avec une lettre de relance pour prouver que vous avez toujours été dynamique dans les échanges
  • Restez professionnel et évitez les confrontations émotionnelles
  • Formez vos équipes aux techniques de négociation et de recouvrement
  • Analysez régulièrement l’efficacité de votre processus de relance de clients et d’impayés

La diversification des canaux de communication constitue un autre levier d’efficacité dans votre procédure de relance. L’alternance entre emails, appel téléphonique et courriers postaux permet de contourner les stratégies d’évitement de certains débiteurs. Un client qui ignore systématiquement vos emails pourra difficilement éviter un appel direct ou un courrier recommandé. La trame d’appel pour relance client doit être soigneusement préparée pour maximiser l’impact de vos interventions téléphoniques.

Face à un client en difficulté mais de bonne foi, n’hésitez pas à proposer des solutions efficaces comme un échelonnement du paiement. Cette flexibilité peut transformer un impayé potentiel en un règlement partiel immédiat suivi de versements programmés. La formalisation écrite de ces accords reste cependant indispensable pour leur donner une valeur juridique.

Comment éviter les impayés clients à l’avenir ?

La prévention des relances de clients et d’impayés commence par l’établissement d’une politique de crédit client rigoureuse. Cette politique doit définir clairement les conditions d’octroi de délais de paiement selon des critères objectifs : taille de l’entreprise, ancienneté de la relation, montant des commandes, et surtout, historique de paiement. Ne craignez pas d’exiger un paiement comptant pour les nouveaux clients ou ceux ayant déjà présenté des incidents de paiement.

L’étude préalable de la solvabilité des clients peut être étudiée en amont, avant toute relation commerciale significative. Consultez les bases de données financières, les scores de crédit, les comptes publiés et les avis de fournisseurs pour évaluer la santé financière de vos prospects. Ces vérifications préventives vous permettront d’adapter vos conditions commerciales au niveau de risque identifié.

La mise en place d’un système d’acomptes s’avère particulièrement efficace pour réduire le risque d’impayés. En exigeant un versement partiel à la commande (typiquement 30% à 50%), vous diminuez votre exposition financière tout en testant la capacité et la volonté de paiement du client. Pour les prestations longues, prévoyez des paiements échelonnés liés à des jalons précis.

Enfin, la digitalisation et l’automatisation de votre processus de facturation permettent de réduire considérablement les risques d’erreurs et de retards. Les stratégies de communication professionnelle digitales facilitent également le suivi et les relances de clients et d’impayés, tout en conservant une trace de toutes les interactions avec vos clients.

Quelle est la durée de paiement maximal en France d’une facture ?

En France, la législation encadre strictement les délais de paiement entre professionnels. Le délai légal maximal est fixé à 45 jours fin de mois ou 60 jours à compter de la date d’émission de la facture. Ce plafond s’applique même si la facture mentionne un délai plus court. Il est important de noter que ces délais pour vos relances de clients en cas d’impayés constituent un maximum légal que les entreprises ne peuvent dépasser sous peine de sanctions administratives. Pour certains secteurs spécifiques comme l’agroalimentaire ou le transport, des délais plus courts peuvent être imposés par des réglementations sectorielles.

Que faire en cas de client injurieux ou menteur ?

Face à un client injurieux ou malhonnête, la meilleure stratégie pour votre relance de clients et d’impayés reste le professionnalisme absolu. Les faits et documents en votre possession (contrats signés, bons de commande, preuves de livraison) constituent vos meilleurs atouts. Évitez absolument de répondre aux provocations ou de vous laisser entraîner dans des échanges émotionnels. Documentez méticuleusement tous les propos inappropriés, qui pourront renforcer votre position en cas de procédure judiciaire. Une posture irréprochable tout au long du processus de relance de clients en cas d’impayés jouera systématiquement en votre faveur lors d’un éventuel jugement.

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Image de <a style="color:black;" href="https://www.acceor.com/author/fabien-errero/">Fabien Errero</a>

Fondateur de l’activité chez ACCEOR – Directeur Associé

Toujours en quête d’innovation commerciale, je pilote depuis plus de 10 ans des stratégies de prospection B2B sur-mesure, fort de mon expérience chez Xerox, Cegedim et Capgemini. Diplômé de NEOMA Business School, je crois fermement en la puissance de la data, de la technologie et d’une approche humaine pour booster la performance commerciale. Passionné d’ultra-trail, j’y puise l’endurance et la rigueur qui me permettent d’accompagner mes clients vers la réussite.

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